Union des Syndicats CNT de la Loire

(Interpro, Travail de la Terre et de l'Environnement, Santé-Social, Éducation, Communication Culture et Spectacles)


Appel à la manifestation pour la journée internationale de lutte pour les droits des femmes
[Posté le 5/03/2022]

Rendez-vous le : mardi 8 mars 2022 à 10H – Place du Peuple Saint-Etienne

La Collective 42

Qui sommes-nous ?

Ensemble stéphanois de collectifs et d’individu-e-s réunis
pour défendre les luttes féministes (BDS, CNT Femmes
Libres 42, La Brailleuse, La Ravachole, Les Glottes rebelles,
Les Héritières d’Olympe, Le Caféministe de Sainté,

Nous Toutes, Syndicat Sud Education etc...).

 le néo-colonialisme

 l’extractivisme

 les lgbtqiaphobies

Que dénonçons-nous ?

 le patriarcat

 le capitalisme

 le racisme

Pourquoi nous réunir le 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes ?

Nous nous mobilisons ici, en France, et en solidarité avec les femmes du monde entier, car il est nécessaire de rappeler qu’il y a besoin d’une lutte. Non seulement, l’égalité entre les femmes et les hommes n’est pas encore atteinte, mais il faut également se battre pour défendre les droits acquis par le passé. Il ne faut jamais lâcher.
(Exemple : la Pologne qui revient sur le droit à l’avortement)

Les droits des femmes et des minorités de genre sont toujours en danger car nous vivons dans un système patriarcal qui expose les femmes :

 aux violences sexuelles & physiques : culture du viol,pornographie, prostitution... (si nous sommes par ailleurs en accord avec le contenu de cet appel que nous avons relayé, nous souhaitons préciser que nous sommes en désaccord avec ce passage tel qu’il a été formulé. En effet, nous ne souhaitons pas associer violence et pornographie et prostitution. Nous condamnons les violences sexuelles et physiques subies par les femmes et minorités de genre du fait de leur genre justement, quelle que soit leur profession et leur place dans la société)

 aux violences psychologiques : harcèlement, violences verbales...

 aux inégalités économiques : inégalités salariales, précarité professionnelle, plafond de verre...

 aux violences médicales : gynécologiques et obstétricales

 à la charge mentale (les femmes assument la majeure partie du « travail du care »)

 à l’éducation genrée

 à l’injonction à la beauté

Les personnes actuellement au pouvoir n’ont pas l’intention, ni de réelle volonté, de faire changer les choses. Ils font partis du système. Malgré les grenelles et les actions de communication menées par les gouvernements, les choses ne changent pas

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